Recension de Paul Chaussée, La Porte du Ciel
Anonyme
+ La Porte du Ciel
« De Maria numquam satis » (de Marie, on ne parle jamais assez), dit l’adage attribué à saint Bernard. À notre époque où tant de catholiques poussent l’apostasie – silencieuse ou non – jusqu’à ne plus croire en la divinité du Christ, la très sainte Vierge ne pouvait échapper au naturalisme ambiant. Imbu de faux œcuménisme, le conciliabule « pastoral » de Vatican II a refusé – pour complaire à nos « frères séparés » – de reconnaître en Marie la corédemptrice et la médiatrice de toutes grâces. Paul Chaussée, qui avoue devoir beaucoup aux interventions de la Vierge, se devait de batailler pour son honneur et de rétablir la vérité en rappelant opportunément ces fonctions si essentielles à notre salut. Le titre de son dernier ouvrage, qui n’est autre qu’un des noms invoqués dans les litanies de la sainte Vierge, est d’ailleurs à lui seul…